Nathalie, la plus grande EcoTraileuse !
[Cet article a été publié le 27 mars 2020.]
Nathalie compte 7 destinations à son actif et est finisher de 17 éditions ! Grande adepte du 50km, ces chiffres impressionnants font d'elle la femme ayant couru le plus d'EcoTrail !
Elle a accepté de répondre à quelques unes de nos questions.
Quand et comment avez-vous découvert EcoTrail ?
J’ai réalisé mon premier EcoTrail [à Paris, ndlr] en 2015, sur le 50 km. C’est un ami qui m’a fait découvrir cette course ; je cherchais à faire une course longue, dans la nature et paradoxalement il m’avait dit que l’EcoTrail de Paris mêlait nature et urbain ! Et c’était vrai ! Je me souviens de superbes passages en forêt et cette arrivée surréaliste au pied de la tour Eiffel !
Qu'est-ce qui vous plait dans le concept EcoTrail ?
Le principe d’une course qui engage chaque coureur à respecter la nature, une organisation bien ficelée et des parcours bien étudiés.
Le fait aussi qu’on retrouve des gens que l’on a croisés lors d’une participation précédente.
Qu'est-ce qui vous motive à participer à tous ces EcoTrail ?
Le fait de rencontrer des personnes de tout horizon, de toutes nationalités et de découvrir plein de capitales.
C’est un bon prétexte de voyages plutôt que de faire les magasins !
Quels sont les 3 mots qui vous viennent à l'esprit pour définir EcoTrail ?
- Nature
- Effort
- Convivialité
Quel est votre meilleur souvenir sur un EcoTrail ?
Oslo, quand j’ai découvert les fermes norvégiennes je me croyais dans une carte postale.
Quel est votre EcoTrail préféré ?
Madère, parce que l’EcoTrail c’est une vraie fête pour les insulaires et parce que j’ai fait podium 2 fois à ma grande surprise…
NB- je cours pour la balade par pour le chrono car je n’ai pas beaucoup de temps à consacrer à l’entraînement.
C’est plutôt un défi à moi-même et je suis contente de finir.
Avec autant de voyages et de participations, auriez-vous une petite anecdote à nous raconter ?
A l’EcoTrail de Putrajaya, le fait de courir dans la chaleur tropicale était assez surprenant ; au ravito je me versais des verres d’eau sur la tête et les autres coureurs me regardaient assez surpris de la pratique ; ils ne ressentaient visiblement pas la température ambiante de la même façon que moi.
Quel est l'EcoTrail qui vous a le plus marqué ?
Je les apprécie tous. Paris reste quand même le plus mythique et Funchal par son dénivelé, ses changements de température et la diversité des paysages (la mer, la montagne, les eucalyptus, les bananeraies…) est inoubliable.
Quel est votre prochain challenge EcoTrail ?
Je suis inscrite à Oslo, toujours sur le 50 km.
Avec 7 destinations à votre actif, vous êtes la femme qui comptabilise le plus d'EcoTrail différents. Qu'est-ce que vous avez envie de dire aux autres sportives pour les pousser à participer ?
Je ne me considère pas vraiment comme sportive ; la course est un moyen de découvrir des paysages, de rencontrer des gens et des cultures et je suis ravie de voir qu’EcoTrail se développe dans le monde entier.
Alors je dirais aux sportives de foncer sur la destination qui les tente.